Il s'agit d'une place formée par le croisement de 6 grandes routes au coeur de la ville étant par la même occasion, un musée vivant. Cela s'explique par le fait que toutes les bâtisses, à une ou deux exceptions près, datent d'avant l'an 2000 voir d'avant les années 1900 - autant dire.... elles datent de l'âge de pierre ! On y croise une foule d'étrangers en attente ou recherche de papiers mais encore des dealers et bandits. Si vous désirez une information assez spéciale, il suffit d'aller à la pêche aux infos ici... car il n y a pas de place pour le secret à Shreveport..

Étrange ruelle en cul-de-sac plus étroite qu'éclairée où se faufilent sans bruits les malhonnêtes et les perdus... C'est par elle qu'on accède aux sous-terrains car au bout de celle-ci se trouve une trappe donnant sur un escalier tortueux. C'est également dans cette ruelle qu'on vient se fournir en armes du fait que les quelques maisons la bordant ne sont autre que des "boutiques" improvisées ou des squats de renégats. On ne compte plus le nombre d'assassinas qu'il y a par semaine dans ces lieux désolants. Quel flic viendrait y mettre les pieds de toute manière ?

Ce nom désigne en fait les sous-terrains de la ville. Shreveport a été bâtie sur une ancienne ville coloniale anglaise dont la naissance remonte aux années 1700 et cette ville, au lieu d'être détruite, s'est "enfoncée" sous la nouvelle. Les bâtisses sont en ruines et le soleil ne passe pas aux travers des murs de béton humides. C'est plus un réseaux de galeries et de planques éclairées par des lampes à huile qu'autre chose. Toute la vermine s'y réfugie et il ne fait pas bon d'y mettre les pieds - on dit de plus que cet endroit est hanté. Les Égorgeurs et les Gangs eux-mêmes ne s'y aventurent pas. Ces sous-terrains sont un peu comme... les Enfers.

Pas besoin d'être devin pour comprendre ce que détermine ce nom. En effet, celui-ci regroupe l'ensemble des rues et petits quartiers d'habitation. Il y a bien sûr le "coin" des pauvres où il s'agirait de parler de taudis plutôt que de maisons et, parallèlement, il y a le "coin" des riches avec pavillons et belles demeures. Dans ce dernier il y a pas mal de fonctionnaires de l'Organisation. Ils n'ont pas peur du Clown - ou je dirais qu'ils n'ont pas conscience des risques qu'ils encourent hum.